
Joan Baez a récemment performé lors du rassemblement "Fighting Oligarchy: Where We Go From Here" à Los Angeles. Cet événement a eu lieu le 12 avril 2025 et a attiré l'attention sur des questions politiques brûlantes. Baez, aux côtés d'autres artistes, a exprimé des préoccupations sur la menace nucléaire croissante et les conséquences des politiques actuelles.
Dans une lettre partagée avec Rolling Stone, Baez critique le manque d'empathie et de "contrôle des impulsions" de Donald Trump. Elle évoque une métaphore du "petit ver vert" qui aurait envahi l'esprit du président, le privant de toute forme de raison. Cette lettre s'inscrit dans le contexte des manifestations "No Kings" qui dénoncent les politiques de Trump.
Elle écrit : "Je pense à un petit ver vert qui s'est glissé dans votre cortex insulaire antérieur, là où l'empathie prend naissance." Cette déclaration souligne l'importance de la sensibilité dans la gouvernance, un aspect que Baez estime gravement négligé.
Dans son poème, Baez aborde des propos controversés tenus par Trump, comme "Grab her by the p—y". Elle souligne que ces mots sont le résultat d'un manque de réflexion et d'une déconnexion avec la réalité. Ce passage illustre son inquiétude face à la dérive des valeurs dans le discours politique.
Elle conclut en indiquant que le "petit ver vert" atteint finalement la partie du cerveau responsable de la pensée, ne trouvant rien. "Oh s–t : il n'y a rien là," écrit-elle, mettant en lumière l'absence de réflexion critique chez le président.
En mars, Baez a exprimé ses inquiétudes sur l'état de la démocratie, déclarant qu'elle "brûle". Elle critique le fait que des milliardaires incompétents dirigent le pays. Ce sentiment de désespoir est partagé par de nombreux citoyens qui se sentent déconnectés du processus politique.
Lors d'une conversation avec John Mulaney, elle a souligné l'importance de rester conscient des beautés du monde, même dans les moments de frustration. La poésie lui a permis de gérer ses émotions face à l'actualité, lui offrant un moyen d'exprimer ses pensées.
Joan Baez continue d'être une voix forte pour la justice sociale et la critique politique. Son utilisation de la poésie pour exprimer ses préoccupations montre son engagement envers un changement positif. En ces temps troublés, ses mots résonnent avec ceux qui aspirent à une démocratie plus juste et équitable.
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