Hayley Williams a récemment fait sensation lors de la première de "Turnstile: Never Enough" au Tribeca Festival de 2025 à New York. Dans sa chanson “Ego Death at a Bachelorette Party”, elle critique un chanteur country raciste, révélant ainsi des tensions dans l'industrie musicale.
Dans un épisode de Popcast du New York Times, Hayley a précisé qu'elle faisait référence à Morgan Wallen. Elle a déclaré : “Je parle toujours de Morgan Wallen.” Cette affirmation a suscité des réactions, surtout après les controverses entourant Wallen.
Williams a exprimé son indifférence face à l'opinion de Wallen, affirmant : “Je m'en fiche. Je ne me soucie pas.” Cette attitude audacieuse souligne son engagement à dénoncer le racisme dans l'industrie musicale.
Les commentaires de Williams interviennent quatre ans après que Wallen a été filmé utilisant un terme racial inacceptable. Il avait ensuite exprimé des regrets, déclarant : “Je suis embarrassé et désolé.” Toutefois, Williams ne semble pas prête à laisser passer de tels comportements.
Elle a affirmé sa passion pour la justice raciale, ce qui est également un thème de son album "Ego Death at a Bachelorette Party". Dans cette œuvre, elle aborde des sujets critiques et intersectionnels.
Hayley Williams a affirmé : “Je suis toujours prête à crier à plein poumons sur les problèmes raciaux.” Elle considère que ces enjeux sont liés à d'autres luttes sociales, comme le changement climatique et les droits LGBTQIA+.
Sa détermination à parler de ces questions reflète une volonté de provoquer un changement dans l'industrie musicale. Elle encourage les artistes à s'exprimer sur ce qui leur tient à cœur.
En somme, Hayley Williams continue de défier les normes de l'industrie musicale en abordant des sujets délicats. Son courage à dénoncer le racisme et à défendre la justice sociale inspire de nombreux fans. Elle reste une voix puissante dans la lutte pour l'équité et l'égalité.
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