Face à la montée en force de l’intelligence artificielle dans le milieu de la musique, les organisations d’artistes et auteur·ice·s s’allient. La France organisera les 10 et 11 février le troisième Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA).
Cet événement réunira à Paris plusieurs centaines de chefs d’État, de gouvernements, d’universitaires, de dirigeant·e·s d’entreprises et de représentant·e·s de la société civile. Ensemble, ils·elles échangeront sur les enjeux de l’IA, qui interroge les fondements de la pensée et suscite à la fois intérêt et préoccupations.
Et puisque plus que jamais, il est essentiel que les droits des créateur·ice·s soient reconnus et protégés, une pétition a été lancée par l’ADAGP, l’Adami, la Sacem, la Scam, la SGDL et la Spedidam. Les organismes précisent bien que leur « démarche ne s’inscrit pas dans une opposition inévitablement stérile entre les acteurs de l’intelligence artificielle et ceux de la culture, mais dans l’exigence d’un débat respectueux des intérêts et des droits de tous. »
Vous avez jusqu’au 3 février pour signer la pétition.
En somme, le troisième Sommet pour l’action sur l’intelligence artificielle (IA) à Paris réunit divers acteurs pour discuter des enjeux de l’IA dans le domaine de la musique. La pétition lancée par des organismes de défense des droits des créateurs vise à protéger leurs intérêts dans ce contexte en constante évolution.
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